« Sophie, libraire à Vancouver, est prête à tout pour récupérer son ex. Même à s’improviser voyante et à proposer à Melanie, la nouvelle petite amie de Doug, qui s’intéresse au paranormal, une fausse consultation destinée à faire rompre les tourtereaux… »
Ne dites pas à ma mère que je suis voyante, elle me croit libraire à Vancouver est le premier roman de l’Américaine Eileen Cook. Ceux qui lisent régulièrement mon blog ne seront pas surpris de me voir encore une fois chroniquer un roman au titre particulièrement long (#passiontitresarallonge !)
Pour récupérer son ex, Sophie, libraire à Vancouver, est prête à tout. Même à jouer les voyantes pour convaincre la nouvelle conquête de Doug qu’il n’est pas l’homme de sa vie. Dans son entreprise périlleuse et – avouons-le – rocambolesque, elle va obtenir le soutien de Nick, un universitaire rencontré dans la buanderie de l’immeuble de son ex dans des circonstances fâcheuses…
En plus, donc, d’un formidable titre (quoi ? j’en fais trop ?), ce roman est vraiment sympa et l’héroïne, Sophie, est très drôle. Elle n’est pas sans me rappeler Becky Bloomwood, notre Accro du shopping préférée. J’ai donc passé un bon moment et ça m’a fait du bien de me laisser embarquer dans les aventures loufoques de Sophie.
Ne dites pas à ma mère que je suis voyante, elle me croit libraire à Vancouver – Eileen Cook – J’ai lu – 344 pages (janvier 2011)
Hello ma belle !!
Je ne le connaissais pas mais ça me donne envie d’aller le lire tiens ! ^^.
J’espère que tu vas bien !
Bises
Johanna
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Salut Johanna,
Ce n’est pas un grand grand livre, mais il se lit vraiment bien et parfois, c’est juste de cela que l’on a besoin. J’espère que tu vas bien aussi.
Bises,
Maeve
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