Resurrection row – Anne Perry

« Qui donc s’amuse à déterrer les morts du très chic quartier de Gadstone Park ? S’agit-il de farces de mauvais goût ou faut-il y voir une plus sombre menace ? Chargé de l’enquête, Thomas Pitt se perd en conjectures. Mais le code de bonne conduite de la haute société anglaise ne tardera pas à se craqueler, révélant sa corruption et sa fausse respectabilité. »

Après L’étrangleur de Cater Street, Le mystère de Callander Square et Le crime de Paragon Walk, voici le quatrième roman d’Anne Perry mettant en scène Thomas et Charlotte Pitt.

Resurrection row démarre par la découverte d’un cadavre sur un cab, un cadavre qui n’aurait jamais dû se trouver là, puisque la victime avait été enterrée quelques semaines auparavant.

Comme d’habitude, je me suis régalée en lisant cette aventure de Thomas et Charlotte Pitt et de retrouver des personnages croisés dans les précédents tomes, comme Vespasia Cumming-Gould (je l’adore !) Il faut que je pense à lire l’histoire de Noël qui la met en scène, je ferai ça quand j’aurai lu les trente tomes des aventures de Thomas et Charlotte Pitt !) et aussi Dominic, le premier amour de Charlotte (il y a aussi une histoire de Noël qui le met en scène ! Je n’aurais jamais assez d’une vie pour lire tous les livres qui me font envie…).

Comme d’habitude, je me suis laissée porter par l’intrigue, parce que de toutes façons, je ne suis pas capable de deviner la fin des Perry. Et depuis que je l’ai accepté, je vais bien mieux, merci !

Si vous ne connaissez pas cette série, et que vous aimez l’ambiance victorienne, foncez ! C’est un peu comme du Jane Austen, pour ses excellentes galeries de personnages, mais en beaucoup, beaucoup plus punchy ! Ça me fait penser – association d’idées à la noix – qu‘Orgueil et préjugés et zombies va sortir au cinéma, je suis curieuse de voir ça (la bande-annonce fait envie en tout cas !), ce roman était un tel OVNI, vous l’avez lu ?

En tout cas, merci à Stelda, mon fournisseur officiel d’Anne Perry !

Resurrection row – Anne Perry – Éditions 10/18 – 314 pages (avril 2002)

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