« Anil, cornac indien, est chargé d’enseigner le dressage des éléphants dans un centre touristique du Botswana. Il est accompagné de la jeune interprète Chandâ, indienne elle aussi, dont la franchise et la modernité ne cessent de le bousculer. Avec le garde Zouma, bushman autrefois braconnier, ils découvrent les massacres de masse perpétrés au nom de l’or blanc.
Un dialogue entre l’homme et la nature, l’Inde et l’Afrique, tradition et mondialisation, à travers une des figures emblématiques du monde animal : l’éléphant. »
L’appel des éléphants de Martine Le Coz est un des livres sélectionnés pour le Prix du roman tmv 2016, auquel je participe.
Martine Le Coz a écrit de nombreux romans et reçu le prix Renaudot en 2001 pour l’un d’entre eux, Céleste. L’appel des éléphants raconte l’histoire d’Anil, un jeune Indien qui se rend au Botswana pour enseigner le dressage des éléphants aux cornacs. Sur place, il se trouve confronté à une autre culture que la sienne et surtout aux massacres des éléphants, chassés pour leurs défenses en ivoire.
Je dois l’avouer, ce roman ne m’a pas particulièrement enthousiasmé. J’ai eu du mal avec le style de l’auteure et j’ai trouvé que l’histoire mettait vraiment beaucoup de temps à se mettre en place.
Toutefois, rendue aux deux-tiers, l’intrigue a commencé à m’accrocher et j’ai fini par apprécier la fin de ma lecture. Mais, trop tardivement pour me faire changer d’avis sur ce livre. Mais on ne peut pas aimer tout ce qu’on lit, pas vrai ?
Pour lire l’avis de Bérengère, membre du jury du prix du roman tmv 2016, rendez-vous sur son blog : leschroniquesdeberengere.over-blog.com
L’appel des éléphants – Martine Le Coz – Michalon – 341 pages (novembre 2015)
En effet, on ne peut pas aimer tout ce qu’on lit (en tout cas, difficile de ne tomber que sur des ouvrages qui nous plaisent!). Surtout quand on n’apprécie que le dernier tiers du livre…
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Oui, tu as entièrement raison. Mais c’est difficile, car ce qui ne nous plaît pas peut séduire quelqu’un d’autre. Et personne n’a envie de lire une chronique où les seuls arguments sont « pourri » ou à l’inverse « best book ever », ils faut développer et parfois ce n’est que du ressenti 😊. Gros bisous ! Maeve
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C’est vrai, ce n’est pas simple et il savoir argumenter, ce que tu as très bien fait 🙂
Bonne soirée, bisous ! Aurélia
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