« Un corps encastré sous la glace d’un torrent du Montana. C’est tout ce qu’il reste d’Abbie Cooper, recherchée dans tous les Etats-Unis pour meurtre et actes d’éco-terrorisme. Comment la jeune fille a-t-elle trouvé la mort ? Quelle dérive a pu entraîner l’enfant choyée d’une famille aimante à une fin aussi tragique ? Des rues de New York aux majestueuses Montagnes Rocheuses, La Ligne de partage nous entraîne dans l’histoire d’une famille brisée par la trahison, essayant désespérément de retrouver le bonheur enfui. »
Nicholas Evans est l’auteur de L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux, un best-seller adapté au cinéma en 1998.
En panne de lecture, maman a exhumé de vieux livres d’un carton (on a souvent déménagé quand j’étais petite) et lors de ma dernière visite, elle me l’a prêté en me disant qu’il était bien. Comme les vacances approchent et que j’ai envie de profiter de mon séjour à Rennes pour rendre les livres qu’on m’a prêtés, je me suis lancée dans ce roman.
Je vais être honnête, j’ai eu un mal fou à entrer dans ce roman. On ne sait pas trop si c’est un roman classique ou un thriller, on passe un peu d’un style à un autre. J’ai bien aimé l’intrigue, mais je suis passée à côté de l’histoire familiale. Trop de longueurs. Je n’ai pas accroché.
La ligne de partage – Nicholas Evans – Le Club – 427 pages (mai 2006)
Je ne connaissais pas du tout.
Quand tu dis que ça passe du classique au thriller, c’est que tu le ressens fortement ? L’écriture change elle aussi, ou bien c’est au niveau de la narration, de l’histoire ?
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Hello ! L’écriture ne change pas, c’est plutôt l’histoire qui bascule. Dans une première partie, c’est la famille qui se reconstruit après la disparition et dans une seconde partie, on aborde plus ce qui est arrivé à la fille.
Bises,
Maeve
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Ah d’accord, c’est une coupure assez radicale. Je pensais que ça se mélangeait, qu’un moment on avait du classique, puis thriller, de nouveau du classique avant de rebasculer sur du thriller, etc.
Merci pour ta réponse 🙂
Aurélia
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