Personne ne le croira – Patricia MacDonald

« Nouveau nom, nouvelle ville, nouveau départ : Hannah et Adam Wickes n’aspirent à rien d’autre qu’à mener une vie paisible et sans histoires, entourer leur petite-fille Sydney de toute leur tendresse, et tenter d’oublier d’anciennes blessures.
C’est compter sans la tragédie inattendue qui vient bouleverser leurs plans, attirant brusquement l’attention des médias sur leur foyer au risque de leur faire courir à tous les trois un terrible danger.
Car Hannah et Adam le savent, tôt ou tard ils devront affronter les démons d’un passé, qui en dépit de leurs efforts, a fini par les rattraper… »

Si vous passez régulièrement ici, vous avez sans doute constaté que j’avais un petit penchant pour les thrillers. J’ai moi-même remarqué que quand je passais à la librairie, souvent un petit thriller se retrouvait dans mon panier sans que je m’en rends compte… C’est très bizarre.

Bref, Personne ne le croira a atterri dans ma PAL et je savais qu’il n’y resterait pas longtemps. Le résumé qui ne dit pas grand chose m’a assez intriguée et j’ai mis de côté quelques lectures plus urgentes pour plonger dans ce roman.

Patricia MacDonald ménage le suspens et on met du temps à comprendre pourquoi Hannah et son mari ont fui, laissant leur vie derrière eux. Et franchement, je n’avais rien vu venir. Ça me fait penser que je pourrais ouvrir une nouvelle rubrique sur le blog, mais je ne peux rien vous dire au risque de vous flinguer tout l’intérêt du roman. Donc bon, tant pis, je vais garder ça pour moi.

Personne ne le croira est plutôt un bon roman qui aborde un sujet dont on ne parle pas vraiment et pour cela je suis très contente qu’il ait sauté dans mon panier. Après, ce n’est pas non plus le thriller du siècle, mais en même temps, je viens de lire Papillon de nuit de R.J. Ellory et c’est difficile de soutenir la comparaison…

Bref, je conseille et je n’hésiterai pas à lire d’autres romans de l’autrice si j’en ai l’occasion.

Personne ne le croira – Patricia MacDonald – Le Livre de Poche – 384 pages (septembre 2016)