« 1912. Lady Julia Ashford, dont le mari vient de mourir en la laissant enceinte, se retrouve seule dans l’immense domaine qui est désormais le sien, et se prépare à une vie placée sous le signe du deuil et des devoirs qui incombent à son titre. Mais voilà que son passé revient la hanter – sous la forme de Will Murphy, son amour d’enfance, gangster irlandais régnant aujourd’hui en maître sur l’East End de Londres. La maîtresse de Longfield Park peut-elle lier son destin à cette figure de la pègre ? Sans doute pas. Tout comme elle ne devrait pas se préoccuper du quotidien de son ancienne domestique, Edna, mariée à un homme violent. Ni encourager sa cousine dans ses engagements suffragistes… Mais la vie change en Angleterre. Autour d’elle souffle le vent des temps nouveaux, celui des révolutions et du changement social – sans compter cette guerre qui déjà se profile, imminente et terrible… »
J’ai glissé Les rêves de nos mères dans ma valise lors des vacances de Noël, espérant avoir le temps de le lire. Évidemment, j’ai eu le temps entre le couvre-feu et le mauvais temps. Et puis je suis rentrée, j’ai repris le travail et je me suis laissée déborder par le quotidien, si bien que je n’ai pas pris le temps d’écrire la chronique de ce livre. Je m’y attelle donc maintenant.
Les rêves de nos mères a reçu le prix du livre romantique 2020 des éditions Charleston. En 2019, Carine Pitocchi a remporté le prix romancière de JC Lattès pour un autre de ses romans Toi seul.
Les rêves de nos mères est un beau roman historique et une belle histoire d’amour, celle de Julia Ashford et de Will Murphy. Une histoire d’amour contrariée par leurs origines. Julia est une lady, Will est un gangster. Un gangster qui aime Julia de loin et veille sur elle et sur ses proches comme il le peut.
Ce roman est à la croisée des chemins entre Downton Abbey et Peaky Blinders, à une époque où le monde est en train de changer. Il était impossible à lâcher tant l’histoire d’amour entre Julia et Will était captivante.
Les rêves de nos mères – Carine Pitocchi – Charleston – 251 pages (juin 2020)
Comme toi, j’ai beaucoup apprécié ma lecture, que j’ai trouvé dynamique, ce qui permet de ne pas le lâcher 🙂
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« […] À la croisée des chemins entre Downton Abbey et Peaky Blinders », ou comment me persuader de m’intéresser à un livre ! Je note le titre, merci !
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Ravie 🤗
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