« Une écorchée vive qui rêve de brûler les planches. Un squat à fuir, un homme secret et tourmenté. Et une audition menée par une troupe étrange dans un théâtre abandonné… Le Majestic. Serez-vous prêts pour la première ? »
J’avais été assez emballée par Criminal Loft, le premier roman d’Armelle Carbonel. Bluffée par l’histoire et par l’ambiance poisseuse et glauque. J’avais trouvé ce roman original et parfait pour faire descendre la température de plusieurs degrés.
Alors je me suis plongée dans Majestic Murder avec confiance, persuadée de me retrouver à nouveau plongée dans une histoire affreuse à m’en faire dresser les cheveux sur la tête. De ce point de vue là, je n’ai pas été déçue. Mon Dieu, c’est vraiment gore ! J’ai eu beaucoup de mal à lire ce roman.
On a des paumés prêts à tout pour une dose, une camée qui cite Shakespeare et une troupe de théâtre complètement cinglée, qui monte un spectacle autour de la vie de Peg Entwistle, une actrice américaine qui s’est jetée du H de Hollywoodland en 1932.
Je ne vais pas m’étendre sur ce livre, car je n’ai pas particulièrement envie d’y repenser. J’ai trouvé que c’était vraiment affreux et pourtant sans surprise. Car même en mettant mes doigts devant mes yeux pendant presque tout le livre, j’ai deviné la fin. Bref, Majestic Murder n’est pas à la hauteur de Criminal Loft. Mais si vous aimez le gore, vous pouvez vous laisser séduire par cette auteure qui n’a pas froid aux yeux. Et moi, je vais aller lire un T’Choupi pour penser à autre chose.
Majestic Murder – Armelle Carbonel – Bragelonne – 226 pages (janvier 2017)
Ouille, grosse déception !
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Là oui, clairement.
Bises et bises,
Maeve
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Son dernier (« Sinestra ») est paraît-il très bien.
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Je te fais confiance. Si l’occasion se présente, je tenterai.
Bises,
Maeve
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J’avais beaucoup aimé « Sinestra », j’en cherchais un autre à lire de cette autrice mais visiblement ce ne sera pas celui-là !
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Oui, alors, pas celui-ci. Criminal Loft n’était pas mal en revanche.
Bises,
Maeve
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