« Dans les années 70, Marie-Lou Beltran, serveuse à L’Auberge du bonheur, vit avec sa fille, Dora, et sa mère, Luce, dans la maison familiale du quartier des Chartrons à Bordeaux. La main verte de Luce et les talents culinaires de Marie-Lou font merveille pour créer un cocon harmonieux.
Un trouble naît lorsque pour son anniversaire, Marie-Lou offre à Dora une magnifique poupée, dénichée chez un antiquaire. Les femmes Beltran constatent bientôt que la poupée suscite des phénomènes étranges.
Un médium prétend qu’elle est habitée par l’esprit d’un proche assassiné. Comment ne pas penser au père de Marie-Lou, Josué, et à son oncle, Féréol, morts en héros sur leurs arpents de vigne à Saint-Émilion, alors sous la botte allemande ?
Prise dans un engrenage de manifestations surnaturelles, butant sur le silence de Luce, Marie-Lou va devoir affronter les démons d’une histoire familiale tourmentée… »
J’avais lu peu de temps avant Le puits de Marie Sexton, roman horrifique avec fantômes et maison hantée, si bien que lorsque j’ai reçu Les petits papiers de Marie-Lou, j’ai imaginé une ambiance un peu similaire et j’ai sauté dessus – en général, je ne suis pas franchement fan d’horreur, mais comme j’étais encore en plein dans l’esprit, je me suis dit que c’était le moment de continuer.
Dans Les petits papiers de Marie-Lou, il est question d’une poupée habitée par un esprit. C’est chez un antiquaire que la petite Dora la remarque et sa maman, Marie-Lou, lui offre pour son anniversaire. A partir de là, la poupée va perturber la famille. Dora va se montrer taciturne et lorsque Marie-Lou va s’en débarrasser – après qu’elle se soit apparemment déplacée toute seule dans différents endroits de leur logement – la mère de Dora va la retrouver dans ses affaires. Là, j’avoue que c’est assez flippant et cela m’a rappellé Dark Water avec le petit sac rouge (ceux qui ont vu le film savent).
Mais si cette partie m’a plutôt happée, je n’ai pas été intéressée du tout par l’histoire de famille de Marie-Lou et les vignes à Saint-Emilion. J’ai donc lu ce roman très vite pour passer à autre chose parce que je n’ai pas été séduite du tout. D’ailleurs, c’est assez drôle, parce que mon amie Stelda a lu ce roman le même jour que moi et elle m’a dit qu’elle n’était pas allée au bout.
J’ai lu que Corinne Javelaud avait écrit des dizaines de romans et qu’elle était assez populaire, je suis donc sûre qu’elle a son public, plus intéressé que moi par ses intrigues. Mais moi je ne suis pas certaine de lire un autre roman de cette autrice.
Les petits papiers de Marie-Lou – Corinne Javelaud – Cosmopolite – 368 pages (février 2021)
L’idée de départ est bonne : faire ressurgir le passé à travers cette poupée… mais je ne suis pas fan des films d’horreur et des aventures surnaturelles. Donc, je lis ta chronique pour le plaisir…
Ce livre ne m’est pas destiné.
J’aimeAimé par 1 personne
Il faut croire qu’il ne m’était pas non plus destiné 😂
Bises et bises
J’aimeAimé par 1 personne
Pingback: I / L | Mademoiselle Maeve
Toutefois c’est une honte d’écrire des chroniques pareilles, irrespectueuses en y mêlant une tierce personne de surcroît. Lamentable pour une « chroniqueuse de radio »
J’aimeAimé par 1 personne
Merci de votre commentaire. En revanche, je ne me sens ni irrespectueuse ni lamentable. Et mon amie n’est pas la seule à ne pas avoir aimé autour de moi. Je vous fait grâce de ce qui a été au sujet de ce livre.
J’aimeJ’aime
Rien de surprenant vu le nombre de bouquins nuls que vous encensez…
J’aimeAimé par 1 personne
Allez plutôt donc lire d’autres blogs qui satisferont votre sentiment d’avoir le bon goût absolu. J’accepte volontiers les remarques et les avis différents, cela permet d’échanger. Mais vous êtes arrivé avec votre agressivité sous le bras alors je me sens obligée de vous répondre de partir maintenant, ça ne sert à rien de rester ici, cela ne me fera pas changer d’avis sur ce livre que je n’ai pas aimé
J’aimeJ’aime