La lame du boucher – James Patterson

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« Alex Cross, le flic vedette de la police de Washington, a vu sa vie basculer le jour où sa femme Maria est morte dans ses bras, abattue par un mystérieux tireur. Depuis, il a démissionné et, après un passage au FBI, rouvert son cabinet de psychologue. Il peut enfin profiter de l’amour des siens : Nana Mama, sa grand-mère, et ses enfants Damon, Jannie et Alex Jr. Mais aujourd’hui, John Sampson, son ancien équipier, a besoin de lui pour traquer un criminel hors normes, un violeur en série qui écume les quartiers chic de la capitale et dont les victimes, terrorisées, refusent de parler. Et voici les deux hommes lancés à un rythme haletant sur une piste sanglante qui leur fera croiser la mafia new-yorkaise et peut-être, enfin, l’assassin de Maria. »

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Je n’avais encore jamais rien lu du prolifique James Patterson et je me disais que ce serait sans doute sympa de lire un des romans écrit par un des partenaire de poker de Richard Castle (oui, bon, j’adore cette série !). J’avais dans un petit coin de ma tête l’idée de commencer avec les livres du Women’s Murder Club (oui, bon, j’ai vu un épisode de cette série et j’ai trouvé ça pas mal !). Quand j’ai eu l’occasion de choisir un roman gratuit lors de mon achat de deux livres de poche, j’ai donc opté pour James Patterson.

La lame du boucher est le douzième roman de l’auteur américain mettant en scène Alex Cross. Démarrer par le tome douze, c’est un peu comme arriver au cinéma à la moitié du film ou commencer une série par l’épisode cinq de la saison trois, même si on raccroche les wagons, on sent qu’il manque un truc.

Ce roman est pourtant bien fichu et on peut complètement le lire indépendamment des onze parus avant. Mais, je n’y peux rien : je sais que maintenant je ne pourrai pas lire les précédents, d’autant que ce roman traite de la traque de l’assassin de Maria, la femme d’Alex et du coup, c’est frustrant (« pourquoiiiiiiii ! », vous voyez le genre drama queen ?).

La lame du boucher est un polar efficace et bien écrit. Il y a des rebondissements jusqu’à la fin et il n’est pas désagréable à lire. Après, ce n’est pas non plus le roman du siècle et quand on aime R.J. Ellory, Peter May ou Dennis Lehane (pour citer un autre partenaire de poker de Castle), Patterson est un peu en-dessous… Je comparerai cette lecture à un Coben ou un Connelly : confortable et agréable, comme un jour de pluie quand on est bien au chaud chez soi et que l’on a pas besoin d’aller dehors.

Je n’abandonne pas l’idée de lire la série du Women’s Murder Club. Mais cette fois-ci je commencerai par le premier livre, hein, tant qu’à faire, c’est-à-dire Premier à mourir.

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La lame du boucher – James Patterson – Le livre de poche – 376 pages (février 2012)

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