Le sabre et la fleur de cerisier – Sylvia Raffin

« Japon médiéval, ère d’Edo.
Ryôji Sawada est un rônin, un samouraï errant. Lorsqu’il entend parler d’une courtisane d’une grande beauté, il se rend à Yoshiwara, le quartier des plaisirs de l’ancienne Tokyo. Il y rencontre la jeune femme femme, prénommée Kazumi Matsuyama, prisonnière de sa situation ingrate et sous l’emprise d’un patron tyrannique et violent. C’est ainsi que débute une histoire d’amour sincère, entravée par la jalousie, la cupidité et le désir de vengeance… »

J’ai découvert Le sabre et la fleur de cerisier de Sylvia Raffin grâce aux éditions Gloriana. Il s’agit d’un premier roman dont l’intrigue se déroule au Japon durant l’ère d’Edo, soit entre le XVIIe et le XIXe siècle.

Kazumi est courtisane dans une maison des plaisirs. Elle déteste sa condition. Elle a été achetée et doit tous les soirs emmener dans sa chambre les clients ayant jeté leur dévolu sur elle. Elle ne rêvait que de partir jusqu’à ce qu’elle découvre ce que l’on faisait à celles qui avaient eu l’audace de fuir. Alors elle dépérit. Jusqu’à ce qu’elle rencontre Ryôji, un rônin sans le sou, mais qui va lui faire découvrir l’amour.

Le sabre et la fleur de cerisier est un roman très court et assez dense. L’ambiance est bien retranscrite et si vous aimez l’univers des geishas, des courtisanes et celui des samouraïs, ce roman pourrait bien vous plaire. Mais pour ma part, je ne suis pas très à l’aise pour vous en parler parce que je n’ai pas beaucoup aimé la fin. Et si je vous explique pour qu’elle raison, je vais vous gâcher le plaisir de la découverte. Sachez seulement que je ne l’ai pas vraiment aimée, non pas parce qu’elle était mauvaise, mais parce qu’une fin comme celle-ci ne peut pas me plaire. En revanche, je suis complètement sous le charme de la couverture.

Le sabre et la fleur de cerisier – Sylvia Raffin – Gloriana (juin 2018)