Amants infidèles – Jackie Collins

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« Des couples riches et célèbres d’Hollywood, des aventures torrides, une obsession pour la minceur et la beauté, un meurtre passionnel… Amour et infidélité sont au rendez-vous ! Cameron Paradise est jeune, musclée et magnifiquement belle, mais elle traîne un lourd passé et un ex violent. À Los Angeles, elle est entraîneuse privée en attendant d’ouvrir son propre centre sportif. Parmi ses clients se trouve Don Verona, un célèbre animateur de télévision au charme légendaire qui tente malicieusement de la séduire par tous les moyens. Grâce à ce dernier, Cameron rencontre Ryan Richards, un producteur de cinéma indépendant. Entre eux, le courant passe aussitôt ; ils se plaisent, se comprennent, se complètent, mais… Ryan est marié et fidèle. Quand le désir et la passion se heurtent aux lois du mariage et aux règles du pouvoir, la morale est bousculée et la chair est faible. Qui a dit que la fidélité est éternelle ? »

J’ai lu Amants infidéles de Jackie Collins dans le cadre de mon aventure de Lectrice Charleston 2017. J’avoue que le titre était loin de m’inspirer.

Je ne connaissais pas Jackie Collins. En fait, il s’agit de la soeur de Joan, l’actrice qui a notamment joué dans Dynastie. Jackie Collins a écrit de nombreuses romances – certaines ont même été censurées – et parmi elles, il y avait Amants infidèles.

L’intrigue se situe à Hollywood dans l’univers des célébrités. Réalisateurs, producteurs, actrices, présentateurs vedettes… Et parmi eux Cameron, une jeune femme qui souhaite ouvrir sa salle de sport et coache des clients à leur domicile. C’est comme cela qu’elle fait la connaissance de Don Verona, un animateur télé peu habitué à essuyer des refus de la gente féminine ; et surtout qu’elle rencontre Ryan. Mais malheureusement pour elle, ce dernier est marié. Vous vous doutez que sachant que la sœur de l’auteur jouait dans Dynastie, il ne m’a pas fallu longtemps pour imaginer les personnages bronzés, aux dents blanches avec tous un look des années 80. Cheveux crêpés, épaulettes, paillettes, bref, la totale.

Je n’aime pas les histoires traitant d’infidélité, donc je m’attendais à ce que ce roman ne me plaise pas. En réalité, il n’y a pas tant que ça d’histoires de tromperies. En revanche, il y a des passages assez vulgaires, on est loin d’une bleuette romantique. Et tout ce qui tourne autour du personnage d’Anya est assez glauque, cru et à mon avis complètement inutile.

Néanmoins, je m’attendais à bien pire que cela. Et j’ai passé un assez bon moment, il y avait une histoire au moins et pas une succession de clichés romantico-érotiques, et cela m’a fait oublier certaines imperfections.