« A-t-on vraiment besoin de quatre digitales pour décorer une table pour six personnes ? Ou bien est-ce six digitales pour tuer quatre invités ? La première année d’école de Sophronia a certainement été enthousiasmante. D’abord, son pensionnat pour jeunes dames de qualité l’entraîne à devenir espionne (Maman sera si surprise !). Ensuite, elle est mêlée à une intrigue à propos d’un appareil volé et on lui jette une tourte au fromage dessus. Aujourd’hui, Sophronia connaît chaque recoin de l’école, laisse traîner son oreille dans les quartiers des enseignants et monte clandestinement à la chaufferie du dirigeable où elle apprend qu’un simple voyage scolaire à Londres peut cacher davantage que ce qu’elle croit ? »
Je vous ai parlé récemment du premier tome de cette nouvelle saga de Gail Carriger, Étiquette et espionnage. Alors, je suppose que vous n’êtes pas surpris de me voir revenir avec une chronique sur le second tome du Pensionnat de Melle Géraldine, Corsets et complots.
Dans cette nouvelle aventure, Sophronia passe ses examens, tente de déjouer un complot concernant des vinaigriers, des bandits de haut vol et des vampires, perfectionne sa technique d’escalade et ses battements de cils en profitant de la venue de garçons de l’école de Bunson à bord de leur pensionnat volant… Bref, on ne s’ennuie pas.
Si vous n’avez pas lu le premier tome, je vous le conseille, ainsi que la saga du Protectorat de l’ombrelle.
Corsets et complots, Le pensionnat de Melle Géraldine tome 2 – Gail Carriger – Orbit – 368 pages (septembre 2014)
Je note quand même dans un coin sait-on jamais 😉
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Oui, on ne sait jamais. Tu pourrais ne plus avoir aucun livre à lire… 😂
Bisous,
Maeve
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Mdrr ouais ! Tu crois qu’un jour ce sera le cas ? On arrivera à ne plus avoir de quoi lire ?? :O
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Jamais 😀
Bisous,
Maeve
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je n’ai pas réussi à me plonger dans l’univers de cette auteure, dommage
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Oui, c’est vraiment dommage. Je peux comprendre qu’on ne rentre pas dans l’univers de Gail Carriger, c’est assez particulier. Moi j’aime vraiment beaucoup, mais il en faut pour tous les goûts.
Bises,
Maeve
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